Ce changement d’implantation du CFI est lié au fait que la métropole toulousaine permet un meilleur accès à la mer. Le recrutement de formateurs et de stagiaires y est aussi potentiellement plus important. Le recrutement de formateurs et de stagiaires y est aussi potentiellement plus important.
Un CFI à fort potentiel
« Bien que mon cœur soit albigeois, Toulouse est plus apte à accueillir notre CFI », explique Émilien Audouy, son directeur, entré à la SNSM en 2002. Toulouse est une ville où le nombre d’habitants et d’étudiants est beaucoup plus élevé. « Avec le concours du siège et du fait que nous soyons propriétaires de notre base à Albi, la recherche a été facilitée. Nous avons effectué de nombreuses visites, puis notre choix s’est porté sur un bâtiment facile d’accès, dans une zone industrielle », raconte le directeur.
Ce nouveau CFI bénéficie d’une surface de 620 m², couverte en partie par une mezzanine. Des travaux ont été réalisés pour donner la priorité à des open-spaces. L’aménagement de la cuisine a été repensé et des toilettes, ainsi que des douches, vont être installées prochainement. Malgré le fait que le CFI soit toujours en travaux, il est tout de même opérationnel depuis la fin du mois de septembre. Le nouveau centre de formation et d’intervention a déjà accueilli douze stagiaires et dispensé quatre cent cinquante heures de formation. « Tout se passe bien, c’est l’idéal ! », se réjouit Émilien Audouy.
Article rédigé par Philippe Payen, diffusé dans le magazine Sauvetage n°160 (2ème trimestre 2022)
